Visite du Centre Culturel Tjibaou

Centre Culturel Tjibaou
12/12/2012
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Pendant un repos de garde de Sandrine, nous sommes allés visiter le Centre Culturel Tjibaou, « musée » bien connu pour son architecture originale, en squelette de cases non finies.
La visite est en fait assez rapide, en 2-3 heures, on a fait intérieur et extérieur ! Des grandes salles, mais assez peu d’objets, pas mal de peintures et quelques photos !
Une salle retrace la vie de Jean-Marie Tjibaou, leader indépendantiste kanak, assassiné à Ouvéa, lors du drame du même nom en 1989. Mais à mon grand étonnement, il n’est pas précisé que mes grands-parents l’ont hébergé à la fin des années 60 lors de ses études sur Lyon ! C’est quand même fou ! C’est un fait d’histoire !

Les jardins sont agréables, le chemin Kanak retrace une partie de cette culture, et la chaleur nous a dirigé doucement vers la baie d’Anse Vata, piquer une tête ! J’ai vu de belles étoiles de mer d’environ 30-40 cm, bleues, blanches, rouges et noires, avec des piques sur le dessus, très chouettes ! Une était même blanche, à pointes rouges et piques rouges, j’ai trouvé une photo la représentant :


C’est une Protoreaster linckii. Je n’ai pas touché, mais elle n’est pas méchante :) !

Pour finir la journée, comme tous les 1ers mercredis du mois, il y avait de l’animation à l’Anse Vata, ce qui nous a permis de goûter le gâteau tahitien ! Chocolat très aéré, meringue à la noix de coco… au top !
Au final, un repos de garde bien sympa !

2 commentaires

  1. gingyo dit :

    et ben vous ne vous ennuyez pas!
    y a des jours où vous faites rien?

  2. Pierre dit :

    Souvenir de mon premier documentaire « politique » (assistant caméra) dans les années 80 (wizzz !) avec les indépendantistes kanaks venus en France pour une réunion secrète. Nous sommes enfermés dans une maison en Vendée avec l’équipe de tournage. Le deuxième jour, je sors fumer une clop dehors : à l’autre bout du champs, et tout autour de nous les paires jumelles des RG braquées sur nous ! Délicieux frisson.
    La plus part des Kanaks présents et filmés termineront tristement à Ouvéa plus tard.

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